Vous avez le pouvoir d’aller bien (mieux).
Il est en vous mais vous ne l’avez jamais reperé ou vous l’avez oublié, ou vous ne l’avez pas entretenu. Il a été masqué par les aléas de la vie, par les traumatismes, par les émotions négatives et les pensées ruminantes.
Arrêt sur image !
Imaginez un peu une scène de théâtre (votre esprit, votre mental) sur laquelle le projecteur est focalisé invariablement et quasiment uniquement sur les problèmes. Rajoutez à cela vos vagues émotionnelles qui viennent colorer le tout d’ une intensité dramatique. Plus vous focalisez, plus vous rendez grave la situation et la scène se rejoue invariablement avec d’autres thèmes. Parfois avec tous les thèmes de la vie et même du quotidien.
Il est temps de poser l’éclairage différemment, de défocaliser et de défusionner avec cet état. La scène qui se joue vous pouvez l’observer sans prendre part systématiquement à tout ce qui se passe de négatif ou de grave. Le stress, les angoisses déclenchent les insomnies, le moral en berne, le manque de plaisir ou d’envie, la peur etc... Et tous les thèmes sont récurrents, travail, famille, chômage, transitions, etc... sans parler des deuils ou des maladies graves.
1ère chose à retenir : NOUS SOMMES DES HUMAINS. Moi aussi, toute thérapeute que je suis, parfois je stresse ou j’angoisse et parfois même il m’arrive de mal dormir par ce que je me fais du soucis. C’est humain ! notre survie en dépend (ça nous différencie vraiment des plantes vertes). Savoir stopper le processus, apprendre que ça ne va pas durer et que vous allez bientôt avoir le pouvoir d’agir devrait vous redonner le sourire (le travail commence déjà !).
Je vous propose d’évacuer vos tensions psycho-corporelles et émotionnelles, d’apprendre à faire le vide de négatif pour télécharger (c’est légal !) du positif afin de changer de regard sur vous et sur vos capacités à gérer votre stress, vos émotions et les difficultés physiques qu’elles génèrent.
Mon approche est douce bienveillante, respectueuse de vos objectifs et de vos besoins mais attention ! il est possible de parler de sujets graves et prendre du plaisir à sourire et être de bonne humeur, le sérieux n’est pas incompatible avec la joie de vivre et la gravité la plus cruelle (croyez-en mon expérience) peut laisser de la place à l’apaisement.
Nathalie témoigne :